L’inscription à l’Etat-civil continue d’être un véritable problème au Sénégal. Des centaines de milliers de personnes ne figurent dans aucun des registres d’Etat civil, faute d’être déclarées.Un constat fait, lors de la journée de restitution des travaux des associations de droits humains « la palabre et AIME ».
Deux associations qui ont choisi d’unir leurs forces afin de jouer leur partition dans ce combat contre le fléau. Mais aussi, sur les violences basées sur le genre et en particulier sur le viol.
Reportage Ibrahima Ndiaye