IDRISS sans VICE Idrissa La station de ton homonyme est si élevée dans les espaces sidéraux que vivant, il entra au paradis et goûta à ses douceurs et délices indescriptible. « Satan-100 » sans sang sans banc te tend ses pièges d’enfer. Et les auras de nos homonymes comme mille anges ont plané sur la planète entière pour célébrer à nouveau ta foi. Va donc glorieux fils d’islaam, d’imaam et de nos maams et d’âmes apaisées. Marche encore la tête et le menton hauts au-dessus de la Tour Mont – Parnasse, de la Tour Eiffel. Tu avais fini de montrer l’héritage guerrier tenu de ancêtres mais les gens sans valeur ne perçoivent ni ne sentent rien. Regarde les, tes yeux étincelants de la lumière que bébé tu étais abreuvé. La lumière que Paris ne peut voir ; ne verra que demain, c’est certain. Puis, promets-moi de voltiger sur les pelouses du monde encore et encore, la balle devant toi parfois; sur ta poitrine remplie de foi des fois ; entre les jambes de ce gardien-là ; souvent dans lucarne et que tu enchaine comme le chapelet de grand-mère les buts dans les camps non plus des adversaires mais de l’ennemi des nuits assombries d’une humanité muée en animalité. Que les tacles que tu sais si bien faire se multiplient et sur leurs aines et sur leur haine.
Je redis des tacles à l’aine, sans laine mais haine.
Cheikh Mohamed Ndiaye
Contribution : Affaire Idrissa Gana Guéye, La lumière que Paris ne peut voir par cheikh Mohamed Ndiaye
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